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Mounet-Sully et Paul Mounet

~ Le site des Frères Mounet

Mounet-Sully et Paul Mounet

Archives de Tag: L’Odéon

10 février 1922… Il y a 100 ans, disparaissait Paul Mounet.

10 jeudi Fév 2022

Posted by mounetsully in Actualité(s)

≈ Commentaires fermés sur 10 février 1922… Il y a 100 ans, disparaissait Paul Mounet.

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Bergerac, Centenaire, Comédie-Française, Disparition, L'Odéon, Macbeth, Mounet-Sully, Paul Mounet

DISPARITION

100e anniversaire de la mort de Paul Mounet

Le 10 février 1922 à 10 heures, il y a 100 ans aujourd’hui, s’éteignait le grand acteur Paul Mounet né à Bergerac le 5 octobre 1847. Seul son prénom, Paul, à l’image des rois, suffisait pour le nommer.

Paul Mounet dans le rôle de Macbeth (Nadar)

Il y a 100 ans, s’en est allé celui qui n’eut pour seul rival que son frère Mounet-Sully, selon le mot du redouté critique Auguste Vitu.

Dans le silence de sa mémoire, nous qui l’aimons, nous qui l’avons tant aimé, nous crions son nom… Paul Mounet !

Le Roi est mort ! Le Roi est mort, vive la roi ! Vive le bon roi Paul Mounet !

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Sarah Bernhardt

08 lundi Août 2011

Posted by mounetsully in Madame Sarah Bernhardt, Sarah Bernhardt

≈ Commentaires fermés sur Sarah Bernhardt

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Amérique, Andromaque, Britannicus, Comédie-Française, Doña Sol, Edmond Rostand, Emile Augier, François Coppée, Hamlet, Hernani, Junie, L'Odéon, Londres, Lorenzaccio, Mademoiselle Nathalie, Maison de Molière, Mounet-Sully, Provost, Régnier, Reine, Ruy Blas, Samson, Sarah Bernhardt, Shakespeare, Théâtre de la Ville, Victor Hugo, Victorien Sardou, Zanetto

Sarah, Henriette, Rosine Bernard, dite Mademoiselle Sarah (1844-1923)

Sarah BERNHARDT - Portrait par Marie BESSON (1886)

Sarah BERNHARDT – Portrait par Marie BESSON (1886)

Entrée à la Comédie-Française en 1862 ; Sociétaire en 1875 ; Départ en 1880.

C’est hors Comédie-Française que Sarah Bernhardt fit l’essentiel de sa carrière. Engagée en 1862 à sa sortie du Conservatoire, où elle a reçu les cours de Provost, Samson, et Régnier, elle quitte presque aussitôt la Comédie-Française, après un différend avec Mademoiselle Nathalie. A l’Odéon, elle fait ses classes et conquiert la célébrité avec son interprétation du rôle travesti de Zanetto, dans le Passant, de François Coppée (1869), puis avec celle de la Reine de Ruy Blas, de Victor Hugo (1872). Elle revient alors en triomphatrice à la Comédie-Française, y joue les plus grands rôles du répertoire (Junie dans Britannicus, Andromaque, Zaïre, Phèdre, Doña Sol dans Hernani…) et les rôles modernes écrits par Henri de Bornier (la Fille de Roland), Emile Augier (Gabrielle), Alexandre Dumas fils (l’Etrangère), Alexandre Parodi (Rome vaincue)… Elle reprend le rôle de la Reine lorsque Ruy Blas entre au répertoire de la Comédie-Française en 1879. Mais la création de l’Aventurière, d’Emile Augier, et les critiques défavorables qui s’ensuivent, consacrent sa rupture, déjà entamée, avec la Comédie-Française.

Elle quitte définitivement la Maison de Molière et poursuit à Londres, en Amérique et à Paris la carrière triomphale que l’on sait. Ses excentricités, ses dons multiples (elle sculpte et elle écrit) en font, avant la lettre, une « star » de réputation internationale. Elle dirige successivement le Théâtre de la Renaissance et celui qui qui portera son nom (aujourd’hui Théâtre de la Ville) et y crée, outre Lorenzaccio (Musset) ou Hamlet (Shakespeare), tout un répertoire écrit pour elle par les auteurs dramatiques contemporains (Victorien Sardou, Armand Silvestre, Edmond Rostand…).

Source : Comédie-Française « Comédie-Française » Revue mensuelle

 
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Jeanne Rémy

10 dimanche Juil 2011

Posted by mounetsully in Jeanne Rémy, Les Mounet

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Alexandre Parodi, Alfred Poizat, Britannicus, Comédie-Française, De Flers et Cavaillet, Dorival, Electre, Hamlet, Jeanne Rémy, Jeanne Sully, Junie, L'Odéon, Malade imaginaire, Maurice Donnay, Molière, Mounet-Sully, Oedipe roi, Paul Hervieu, Rome vaincue, Ruy Blas, Sophonisbe, Théâtre Fémina, Tite-Live, Train de plaisir

Caroline, Catherine Champs, dite Jeanne Rémy (1881-1961)

Jeanne Rémy - Rôle d'une Vestale dans Rome vaincue - CF

Jeanne Rémy – Rôle d’une Vestale dans Rome vaincue

Pensionnaire de 1904 à 1926.

Ses parents, hostiles à sa carrière théâtrale, ne l’autorisèrent pas à se présenter au conservatoire, mais elle suivit les cours de Dorival (qui lui donna son nom de théâtre)et, après une audition à l’Odéon, y passa deux ans à jouer de petits rôles qui la formèrent à tous les genres.

Mounet-Sully l’engage pour une série de tournées en France et à l’étranger. De leur liaison naît une fille qui deviendra sociétaire de la Comédie-Française sous le nom de Jeanne Sully. Avec Mounet-Sully, elle apprend à jouer la tragédie et le drame romantique. Elle est sa partenaire dans Hamlet, dans Ruy Blas, dans Britannicus. Alfred Poizat la remarque et lui fait jouer, en 1910 au théâtre Fémina, sa Sophonisbe. En 1911, elle entre à la Comédie-Française, où elle débute dans Junie de Britannicus, et Angélique du Malade imaginaire. Sensible et sincère, elle joue la tragédie (Électre, Les Phéniciennes) et le drame moderne (la Robe rouge, Rome vaincue, Cléopâtre). Dans la grande comédie contemporaine, elle joue Paul Hervieu, Maurice Donnay, de Flers et Cavaillet. Elle quitte la Comédie-Française à la fin de l’année 1926, ayant assisté, l’année précédente, aux débuts de sa fille dans le même rôle de Junie.

Jeanne Rémy est représentée ici dans le rôle d’une vestale dans Rome vaincue d’Alexandre Parodi, pièce tirée de l’histoire romaine de Tite-Live, après la bataille de Cannes.

Source : Comédie-Française « Comédie-Française » Revue mensuelle n° 157 (15 mars 1987)

FILMOGRAPHIE de Jeanne Rémy :

1910 « Oedipe roi » film de gaston Roudès

1922 « Molière, sa vie, son oeuvre » film de Jacques de Féraudy

1935 « Train de plaisir » film de Léo Joannon et Yves Mirande (voir fiche)

 
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Mounet-Sully

10 dimanche Juil 2011

Posted by mounetsully in Les Mounet, Mounet-Sully, Mounet-Sully

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Britannicus, Comédie-Française, Doyen, Film d'Art, Hamlet, Hernani, L'Odéon, La Vieillesse de Don Juan, Le Baiser de Judas, Mounet-Sully, Oedipe roi, Orange, Pathé-Journal, Pierre Barbier, Ruy Blas, Voltaire

Jean-Sully Mounet, dit Mounet-Sully (1841-1916)

Mounet-Sully par Carjat

Mounet-Sully – Cliché par Carjat

Entré à la Comédie-Française en 1872 ; Sociétaire en 1874 ; Doyen de 1894 à 1916.

Ce gascon « monte » à Paris pour suivre les cours de déclamation de Ballande avant d’entrer au Conservatoire dans la classe de Bressant. Il en sort en 1868 avec un premier accessit de Tragédie et un second prix de Comédie. Il joue, à l’Odéon, des rôles secondaires et, après la guerre de 1870 qu’il fait en qualité d’officier, il participe aux matinées Ballande où le remarque Emile Perrin, administrateur de la Comédie-Française. Il débute en 1872 dans le rôle d’Oreste d’Andromaque, mémorable soirée au cours de laquelle le jeune tragédien, par sa beauté, sa fougue, sa conception du rôle, obtient un succès prodigieux. Il joue ensuite le Cid mais la sauvagerie de son jeu déconcerte et il est obligé de modifier son interprétation avant de devenir « le Rodrigue idéal » salué par la critique. Il s’empare alors, pour plus de vingt ans, de tous les premiers rôles tragiques du répertoire : Achille, Hippolyte, Néron, Joad, Horace, Polyeucte… Il joue Orosmane, dans une reprise de Zaïre de Voltaire, et donne la pleine mesure de son tempérament dans le drame hugolien, de Marion de Lorme (1873) aux Burgraves (1902) en passant par Hernani, Ruy Blas et le Roi s’amuse. De même, les fureurs shakespeariennes conviennent à sa nature ardente : il fait un triomphe dans Hamlet, puis dans Othello.

Il utilise ses qualités plastiques, son sens du geste, sa voix tonitruante dans les représentations des tragiques grecs données tant à Orange qu’à la Comédie-Française : inoubliable Œdipe roi dans l’adaptation de Jules Lacroix d’après la tragédie de Sophocle, grandiose Créon d’Antigone, il met dans l’interprétation de ces grands textes une telle conviction, presque mystique, qu’il en devient légendaire. Le public, frappé de ses vociférations et de son lyrisme, le considèrera longtemps comme le plus grand acteur tragique français. Les tournées triomphales qu’il a faites en Europe, en Russie et surtout aux Etats-Unis en 1894, avec ses plus grands succès (Œdipe roi, Hamlet, Ruy Blas et Hernani) témoignent de sa renommée internationale. Il est à cette occasion reconnu par les anglo-saxons comme un véritable acteur « shakespearien ».

A part quelques rares incursions dans la comédie – Jupiter d’Amphitryon et Alceste du Misanthrope – il n’est à l’aise que dans la tragédie et dans le drame. D’ailleurs il ne crée, dans les pièces contemporaines, que des rôles « en costumes » : la Fille de Roland, et le Fils de l’Arétin d’Henri de Bornier, Par le glaive et la Martyre de Jean Richepin, Rome vaincue d’Alexandre Parodi, Garin de Paul Delair, Frédégonde de Dubout, Alain Chartier de Borelli, Patrie de Victorien Sardou, etc.

Doyen respecté, il se pique aussi d’écrire et interprétera lui-même en 1906 à l’Odéon, avec permission spéciale de la Comédie-Française, la Vieillesse de Don Juan, pièce écrite en collaboration avec Pierre Barbier. Ses Souvenirs d’un tragédien sont publiés l’année qui suit sa mort. En 1908, il a participé aux premières expériences du Film d’Art (le Baiser de Judas, Britannicus…). Un étonnant document tourné pour Pathé-Journal évoque son interprétation d’Œdipe roi.

Un médaillon, inauguré en 1927, sur les murs dela Comédie-Française, galerie Montpensier, rappelle son souvenir, seul acteur parmi les auteurs dont les profils figurent sous les galeries du théâtre.

Source : Comédie-Française « Comédie-Française » Revue mensuelle n° 120 (10 juillet 1983)

FILMOGRAPHIE de Mounet-Sully : Cliquer ici

 
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