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Mounet-Sully et Paul Mounet

~ Le site des Frères Mounet

Mounet-Sully et Paul Mounet

Archives de Tag: Théâtre

De la scène à la pellicule – Théâtre, musique et cinéma autour de 1900…

19 mardi Oct 2021

Posted by mounetsully in Actualité(s)

≈ Commentaires fermés sur De la scène à la pellicule – Théâtre, musique et cinéma autour de 1900…

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Alain Carou, Aurélien Poidevin, Cinéma, Cinématographe, Comédie-Française, De la scène à la pellicule, Film d'Art, Films muets, Frédérick Sully, l'oeil d'or éditions, l'Assassinat du duc de Guise, Le Retour d'Ulysse, Mounet-Sully, Musique, Paris 1900, Pathé, Paul Mounet, Rémy Campos, Théâtre

VIENT DE PARAITRE – Beaux Livres

DE LA SCENE A LA PELLICULE – l’oeil d’or éditions

Théâtre, musique et cinéma autour de 1900

Sous la direction de 
Rémy Campos, Alain Carou, Aurélien Poidevin 

Au début XXe siècle, le cinéma naissant entretient des rapports étroits avec le spectacle vivant. Les procédés du théâtre, de l’opéra, de la féerie, du ballet ou du café-concert sont alors employés dans les théâtres de prise de vue, ancêtres des plateaux de tournage. Les artistes et techniciens qui construisent les décors, fabriquent les costumes ou réalisent les trucages cinématographiques œuvrent aussi dans les salles de spectacle à Paris et en province. Les metteurs en scène de cinéma ont souvent été régisseurs de théâtres. Devant la caméra, les acteurs reprennent les mêmes gestes expressifs que sous les feux de la rampe. Des histoires identiques sont racontées sur les scènes ou à l’écran. À chaque instant, le cinéma des premiers temps puise dans des traditions scéniques anciennes des ressources nouvelles.

De la scène à la pellicule documente et interroge la théâtralité du cinéma en France, notamment à partir de productions du Film d’Art, réalisées entre 1908 et 1912. L’ouvrage contient une centaine d’illustrations, de nombreuses sources inédites et deux DVD. Pour trois des 20 films restaurés, l’accompagnement musical originel a été réinterprété, enregistré et synchronisé, permettant pour la première fois de retrouver les conditions de projection d’origine. La musique de L’Assassinat du duc de Guise (Camille Saint-Saëns) est jouée par l’orchestre de la Haute école de musique de Genève dirigé par Laurent Gay, celles de L’Empreinte ou La Main rouge (Fernand Le Borne) et du Retour d’Ulysse (Georges Hüe) sont interprétées au piano par Anne Le Bozec. 

Avec les contributions d’Iris Berbain, Rémy Campos, Alain Carou, Quentin Gailhac, Agnès Hospitalier, Priska Morrissey, Aurélien Poidevin, Valentine Robert, Frédérick Sully, Stéphane Tralongo et des entretiens avec Béatrice de Pastre, Anne Le Bozec, Laurent Gay et Didier Henry. 

2 DVD (pour une durée totale de 4 h 22 m) : L’Assassinat du duc de Guise – L’Empreinte ou La Main rouge – Le Retour d’Ulysse – La Main – Un duel sous Richelieu – L’Enfant prodigue – Mireille – La Tour de Nesle – La Grande Bretèche – Une conquête – Moines et guerriers. Épisode du siège de Saragosse (1808) – Le Luthier de Crémone – Macbeth – Carmen – Lucien Fugère dans Don Juan – Jeanne Hatto dans Iphigénie en Tauride – Émile Cossira dans Roméo et Juliette – La Rançon du bonheur – Manon Lescaut – Œdipe roi. 

187 illustrations couleurs ; 296 pages ; 2 DVD – 39€

SOUTIENS : CNC – LA CINÉMATHÈQUE FRANÇAISE – HAUTE ÉCOLE DE MUSIQUE GENÈVE – NEUCHÂTEL – HAUTE ÉCOLE SPÉCIALISÉE DE SUISSE OCCIDENTALE

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Jean-Paul Belmondo – « Les Martiens nous auront ! »

16 samedi Oct 2021

Posted by mounetsully in Actualité(s)

≈ Commentaires fermés sur Jean-Paul Belmondo – « Les Martiens nous auront ! »

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1964, Cinéma, Comédie-Française, Conservatoire, Disparition, Ecole, Interview, Jean-Paul Belmondo, Jeanne Sully, Le Nouvel Observateur, Michel Cournot, Théâtre

DISPARITION

Il y a quelques semaines à peine, le 6 septembre dernier, disparaissait Jean-Paul Belmondo. Acteur populaire, très aimé des français, il n’a jamais cessé de clamer son amour du métier et son bonheur d’être acteur. Nous avons donc tenu à nous associer aux nombreux hommages qui lui ont été rendus en publiant des extraits d’une interview publiée en 1964 dans Le Nouvel Observateur. Cette interview réalisée par Michel Cournot était pieusement conservée dans les archives personnelles de la comédienne Jeanne Sully.

François et Frédérick Sully

LE NOUVEL OBSERVATEUR n° 5 – 1964

INTERVIEW JEAN-PAUL BELMONDO par Michel Cournot

LES MARTIENS NOUS AURONT

« On cause, la crise, on gamberge, tu sais ce qu’il faut ? Priorité – Une école ! Commencer par le commencement !

Moi j’en vois de plus en plus des types qui ont envie d’apprendre le cinéma. Ils n’ont rien nulle part. Ils essayent de jouer comme ça : ils se ramassent. Foutus pour le métier, et des types bien ! Ceux qui marchent sans avoir appris, c’est des cas…

… Jouer la comédie, ça s’apprend. C’est pas tellement difficile, mais ça s’apprend…

… Où veux-tu apprendre ici ? Tu n’as rien ! Tu as le conservatoire ? Le conservatoire, c’est usé ! C’est un truc de préhistoire, on y fabriquait des mecs pour jouer Athalie devant des bonnes femmes en robe du soir, ça suffit plus ! Maintenant tu joues la comédie en cinémascope, à la télévision, on travaille plus pour les marquises ! Le travail d’acteur a complètement changé. C’est pas au conservatoire que tu vas apprendre !

Au conservatoire, qu’est-ce qu’ils t’apprennent ? Ils t’apprennent ton texte, ils t’apprennent à le balancer aux sourdingues du troisième balcon ! C’est tout. Ils t’apprennent surtout pas à parler naturellement, ils t’apprennent à gueuler comme à la Comédie-Française. Viens causer comme ça aux studios de Billancourt, tu es viré en moins de deux !

Non, les types qui sortent du conservatoire, ils peuvent travailler au Français, tu es bon pour les tournées de province, tu n’es pas bon pour autre chose ! Ils te bouclent trois ans, ils font de toi un infirme ! Un type inutilisable ! C’est un peu moche !

Je te demande pas l’Actor’s Studio, tu m’as compris ! L’Actor’s Studio c’est pour les drogués de Chicago, les pédés de Central Park, les philosophes chômeurs, les émigrés neurasthéniques, les mecs à problèmes. L’Actor’s Studio, c’est épatant pour l’Amérique, mais pas pour nous. Pas encore.

… Former des acteurs, c’est prendre des mecs qui en veulent, et leur apprendre la boxe, la cuisine, l’escrime, la boucherie, la machine-outil, c’est leur faire avoir le permis poids lourd, leur permis pilote, c’est leur apprendre à cirer les chaussures et à découper le jambon, à faire marcher un bulldozer et à couper les pages d’un livre, à plonger à quinze mètres et à causer anglais. C’est leur apprendre tout, parce que maintenant on leur demande tout, on leur demande plus seulement d’ânonner Marivaux.

…Une école d’acteurs, on y apprend tout ! Et puis on passe à la pratique, entre les cours. Allez hop ! Sur les planches, les vraies, deux, trois fois par mois, pour savoir ce que c’est ! Sans ça, comment veux-tu apprendre ?

Au Conservatoire ils sont dingues, tu sais ce qu’ils font ? Ils jouent les uns devant les autres ! Ils ont leur public de copains, ils finissent par croire que c’est arrivé ! Ils font n’importe quelle connerie, les copains sont pliés en deux ! Qu’ils aillent faire ça au Gymnase, à l’Edouard VII, ils verront le bide ! Au Conservatoire ils jouent pendant trois ans devant un faux public qui rigole de confiance ! Et quand ils débarquent au théâtre ou dans un studio de cinéma, ils sont complètement paumés !

… Le vrai public tous les quinze jours, voilà ce qu’on se taperait dans une vraie école ! Et tous les soirs au spectacle ! Le boulevard ou le cinéma, tous les soirs !

…Au Conservatoire, on les laisse pas sortir ! …Non, ils ont droit au Français, un point c’est tout, ils ont droit aux grandes bécasses qui naviguent sur la pointe des pieds en larguant Théramène comme un air d’opéra ! C’est chouette pour apprendre le métier ! Quand le cinéma leur demandera d’interpréter un charcutier qui relève son volet de fer, ils auront bonne mine !

Moi, quand on me parle de crise, je dis : si vous voulez avoir du monde, apprenez-nous notre métier ! Faites des écoles de cinéma ! En France on apprend rien ! On a deux cents ans de retard ! On prend des jeunes qui y croient, qui ont le feu, qui ont des dons, et on en fait des bons à rien ! J’appelle ça un crime !

…On se fera bouffer par les martiens parce qu’ils auront des écoles. Nous on n’a pas d’école. C’est un crime. »

Archives Jeanne Sully

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Théâtre : la grandeur est un droit ! par Yannis Ezziadi

28 vendredi Juil 2017

Posted by mounetsully in Revue de Presse

≈ Commentaires fermés sur Théâtre : la grandeur est un droit ! par Yannis Ezziadi

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Acteur, Actualité, Anne Delbée, Causeur, Comédie-Française, Culture, Gérard Depardieu, Jean Cocteau, Le Figaro, Michel Galabru, Monstre sacré, Mounet-Sully, Philippe Caubère, Sarah Bernhardt, Théâtre, Yannis Ezziadi

CAUSEUR n° 47 (Juin 2017) – Le 13/06/2017

CULTURE

THEATRE : LA GRANDEUR EST UN DROIT !

Yannis Ezziadi © Hannah Assouline (Causeur)

Lettre d’un jeune acteur qui ne supporte plus les metteurs en scène en guerre contre les œuvres, la beauté et le goût du public.

Où aller pour rêver ? Pour voir l’impossible ? Dans quel théâtre se rendre pour échapper à notre platitude quotidienne ?

Sur les scènes des théâtres publics ou à l’opéra, de folles et grandes œuvres sont pourtant montées comme Phèdre, Roméo et Juliette, Le Misanthrope, Lohengrin, Iphigénie en Tauride et Samson et Dalila ! Montées ?… ou plutôt démontées. En effet, une majorité de metteurs en scène s’attache à anéantir, à piétiner la dimension onirique et poétique de ces chefs-d’œuvre.

Au théâtre et à l’opéra, lieux à part et hors du temps, lieux de tous les possibles, lieux des rêves les plus fous, de la possible démesure, le rideau s’ouvre trop souvent sur la tristesse d’un décor sage, réaliste et dépouillé (lorsque décor il y a), et sur des acteurs en costume/cravate ou jean/baskets. Le rideau de velours rouge s’ouvre (si le théâtre en dispose encore) pour n’offrir à nos yeux que notre quotidien le plus banal sur la scène de ces temples sacrés, pour les plus anciens, faits de rouge et d’or.

La mode est malheureusement au réalisme bas de gamme, au refus de la beauté, de la sophistication et de l’artifice. L’acteur aussi, contraint par le metteur en scène, joue de manière sobre et raisonnable. Ce n’est même plus la vie quotidienne que l’on voit sur la scène, mais encore moins que cela. Ce n’est même pas du réalisme, mais du sous-réalisme. Et le théâtre subventionné n’a plus le monopole de cette grisaille, qui contamine malheureusement de plus en plus de théâtres privés programmant, comme honteux de présenter des divertissements populaires, des spectacles « sérieux » en espérant ainsi redorer leur image. Voilà la mort du spectacle ! Le théâtre sérieux, le théâtre raisonnable. C’est ainsi que, gouverné par la dictature du bon goût, notre monde passe à côté de ses artistes les plus immenses. Je pense notamment à Michel Galabru, cet acteur de génie qui, malgré l’amour des Français pour lui, aura toute sa carrière durant été méprisé et rangé dans la case des « ringards » par le microcosme des « gens de théâtre et de cinéma » branchés, faiseurs, fins politiques. Quand il jouait, tout était profondément tragique, voilà pourquoi il était un grand acteur comique, peut-être le plus grand. Dans un siècle, les grands acteurs comiques et populaires sont rares. En ignorer et en mépriser ouvertement un tel que lui est un crime contre l’art. Quel théâtre national, quel metteur en scène vedette du subventionné lui aura donné de grands rôles après sa sortie de la Comédie-Française à l’âge de 35 ans ? Depuis Jean Vilar au festival d’Avignon en 1961 avec Les Rustres de Goldoni, il n’y aura eu que Jérôme Savary. Et voilà de quelle manière le public se retrouve privé de ses acteurs les plus magnifiques dans de grands rôles à leur mesure.

Retrouvons en nous l’enfant qui refuse de s’ennuyer, qui veut s’émerveiller, qui veut rêver ! « Perdre l’enfance, c’est perdre tout », disait Jean Cocteau. N’est-il pas essentiel pour nous d’échapper à l’ordinaire de nos jours ? De voir plus haut ? Plus beau ? Plus monstrueux ? Le temps d’un songe ! Pensons à Giorgio Strehler et Jean-Louis Barrault, à Luchino Visconti et, au cinéma, à David Lynch, à Tim Burton et à Francis Ford Coppola ! Pensons à Fellini !

Il est indispensable que revienne le grand art, le grand théâtre, le théâtre des acteurs.

Rien n’est plus beau qu’un grand acteur, qu’un acteur fou et démesuré en liberté sur un plateau. Délivré de la cage dans laquelle trop de metteurs en scène veulent le mettre. Relisons Mes monstres sacrés de Jean Cocteau, lorsqu’il raconte que le tragédien Mounet-Sully, sur la scène de la Comédie-Française, rugissait, bondissait, se ramassait, miaulait, grondait, s’étirait, giflait le vide, le broyait et qu’il « offrait ensemble le spectacle d’un dompteur qui cravache un lion, et du lion forcé d’obéir ». Les acteurs ont été, ne l’oublions pas, des personnages hors du commun, des personnages qui fascinaient les foules. Pouvons-nous en dire autant aujourd’hui ? À quelques exceptions près… Il y a Gérard Depardieu. Ce monstre sacré bouleverse et fascine le peuple. Cet ogre sublime, libre, nous donne l’impression d’appartenir à la race des dieux. Tout ce que les petits artistes jaloux et lyncheurs lui reprochent, le peuple le lui pardonne, car il remplit sa mission d’artiste auprès d’eux : il les fait rêver !

Retrouvons en nous l’enfant qui refuse de s’ennuyer, qui veut s’émerveiller ! N’est-il pas essentiel pour nous d’échapper à l’ordinaire de nos jours ? De voir plus haut ? Plus beau ? Plus monstrueux ?

Il y a de bons acteurs, évidemment, très bons même, mais qui prendraient une tout autre dimension si l’art de l’acteur revenait au centre du théâtre. L’art de l’acteur… trop souvent méprisé par les metteurs en scène.

Refusons la dictature du goût du jour et l’uniformisation de l’esthétique d’un trop grand nombre de nos théâtres subventionnés. Refusons à l’opéra la destruction de la dimension fantastique, onirique et poétique d’une foule d’œuvres surdimensionnées pour les réduire à de pauvres anecdotes sous-réalistes. Exigeons le retour du grand art, de l’art fou, du théâtre des passions dans ces théâtres publics, ces théâtres du peuple que sont, par exemple, l’Odéon, Bobigny ou les Amandiers de Nanterre !

Une multitude de metteurs en scène soutenus par leurs directeurs de théâtre déclarent la guerre aux œuvres qu’ils montent, à la beauté, au goût du public.

Réclamons la grandeur ! Elle n’est pas une insulte à notre adresse.

Je tiens à saluer l’action de trois grands artistes qui se battent pour le retour du grand théâtre : Anne Delbée, Philippe Caubère et Michel Fau. Merci pour leur combat, pour leurs refus, pour leur passion. •

Yannis Ezziadi


 

La grandeur est un droit ! © Causeur 2017

 

 

 

 

 

 

 
 
A lire également :
 
Obsèques de Michel Galabru : la sainte colère de Philippe Caubère
 
Le Figaro du 14 janvier 2016 par Armelle Heliot
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 […] « Je nous suggère, et à vous aussi qui l’avez connu, écouté, adoré, de travailler, œuvrer, lutter pour que perdure, renaisse, revienne le théâtre des comédiens. Celui de l’antiquité, du Moyen-Âge, du 19 ème et du XX ème Siècle, de Sarah Bernhard et Mounet-Sully jusqu’à Copeau, Dullin, Jouvet, Vilar. Et de Raimu à Galabru. » […]

Philippe Caubère
 
 

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Agenda 2016 : Mounet-Sully à la Maison de Victor Hugo (expo)

04 vendredi Déc 2015

Posted by mounetsully in Actualité(s)

≈ Commentaires fermés sur Agenda 2016 : Mounet-Sully à la Maison de Victor Hugo (expo)

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2016, Actualité, Centenaire de Mounet-Sully, Commémorations nationales, Exposition, Hernani, Hommage, Le Roi s'amuse, Les Burgraves, Marion Delorme, Mounet-Sully, Ruy Blas, Sarah Bernhardt, Théâtre, Victor Hugo

AGENDA 2016

A VENIR…

EXPOSITION : 26 janvier 2016 – 3 avril 2016

Mounet-Sully dans le rôle d'Hernani (Nadar) © Maison V.Hugo

Mounet-Sully dans le rôle d’Hernani (Nadar) © Maison V.Hugo

MOUNET-SULLY

« Format de poche » : Présentation des collections du 26 janvier 2016 au 3 avril 2016.

A l’occasion du centenaire de sa mort, inscrit dans le cadre des Commémorations nationales 2016, le musée rend hommage au grand acteur Mounet-Sully à travers une sélection d’œuvres et de documents des collections. Cette présentation témoignera des grands rôles du théâtre de Victor Hugo qu’il interpréta. Il fut Hernani lors de la fameuse reprise de la pièce en 1877, donnant la réplique à Sarah Bernhardt, avant d’incarner Ruy Blas (1879) et de jouer dans Le Roi s’amuse (1882), Les Burgraves (1902) et Marion Delorme (1905, 1907).

Plus d’informations à venir sur le site de la Maison(s) de Victor Hugo.

 

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