Le 28 octobre prochain à 17 heures, cela fera 100 ans que s’éteignait à Paris le grand acteur roumain sociétaire de la Comédie-Française Edouard de Max né le 27 février 1869 à Jassy (Iași) en Roumanie.
Pour l’occasion, un office religieux sera célébré à sa mémoire en la Cathédrale Orthodoxe des Saints Archanges Michel, Gabriel et Raphaël dans le 5ème arrondissement de Paris, à l’endroit même où se déroulèrent ses obsèques en 1924 et où se tint en 1934 une messe pour le 10ème anniversaire de sa mort.
Cet office sera suivi quelques jours plus tard d’un hommage au Cimetière du Montparnasse où se trouve sa sépulture et celle de sa fidèle servante Marie Davenne (1851-1947).
Enfant terrible du théâtre français, « Monstre sacré » selon l’expression consacrée pour elle par Jean Cocteau, première vraie « star » internationale qui demeure aujourd’hui encore la comédienne la plus extraordinaire que l’histoire du théâtre ait connue, Sarah Bernhardt est l’incarnation même du mythe et de la légende. Magnifiée par le duo magique qu’elle forme à la Comédie-Française avec le jeune Mounet-Sully (de 1874 à 1880) son partenaire à la scène et à la ville, celle qui fut surnommée « la voix d’or » par Victor Hugo, sera inlassablement « acclamée et vénérée par trois générations de spectateurs charmés par son génie et par le magnétisme de sa personnalité libre et extravagante ».
Loin, très loin des clichés et de la basse anecdote, Divine – Vie(s) de Sarah Bernhardt offre une (re)découverte haletante et passionnante de la vie et de la carrière de cette femme hors du commun. S’appuyant sur un travail sérieux et parfaitement documenté, Eddy Simon et Marie Avril nous livrent ici une vie de Sarah Bernhardt en images dessinées tout à la fois biographique et libre, savamment colorée, parfaitement rythmée et chronologiquement très bien articulée (les auteurs s’étant particulièrement attachés à développer cette période de neuf ans (1871-1880) où Sarah va construire sa légende, travailler pour connaître la consécration). Le résultat en est prodigieux.
De par sa qualité, tant du point de vue de l’exactitude biographique et historique que du choix graphique, Divine – Vie(s) de Sarah Bernhardt atteste qu’il est tout à fait possible de concilier culture et divertissement (« L’art d’enseigner le public en lui laissant croire qu’on l’amuse » selon le mot de Mounet-Sully). Sans parti-pris, loin de tout militantisme et de toute récupération, l’œuvre biographique gagne en autorité et la place sans conteste au niveau des plus sérieuses publications consacrées à l’inoubliable artiste. En ayant fait le choix de la vérité, cette vérité qui se suffit à elle seule, les auteurs de cette remarquable bande dessinée nous rendent enfin une Sarah Bernhardt libérée du biais du jugement, une Sarah qui, au fil des pages, se construira par elle-même selon la perception propre de chaque lecteur, une Sarah authentique, vivante, en perpétuel mouvement.
Cette œuvre coup de cœur qui aura nécessité trois longues années de travail à leurs auteurs est un véritable « Must have ». Tous publics, elle est absolument à mettre entre toutes les mains !
Illustrations couleurs ; Couverture cartonnée ; 200 x 270 mm ; 176 pages – 22€
100e anniversaire de la disparition de Sarah Bernhardt
Le 26 mars 1923, il y a 100 ans aujourd’hui, disparaissait la grande artiste.
En ce jour de commémoration, nul mieux que Mounet-Sully ne pouvait lui rendre plus sincère et plus vibrant hommage.
− = ≡ • ≡ = −
« Sarah Bernhardt est une force de la nature, un être tellement supérieur aux autres qu’elle échappe au jugement. Je l’ai suivie pas à pas dans les étapes de sa longue et belle vie dramatique et maintenant que je la vois auréolée de tant gloire, je ne puis m’empêcher d’éprouver pour elle un sentiment très fort qui n’est point de l’admiration mais de la vénération.
Cette femme porte encore dans ses yeux la flamme d’une éternelle jeunesse. Ce n’est point une artiste ordinaire, c’est une créatrice. Elle n’interprète pas, elle suggère la beauté. Je ne l’ai jamais vue dans un rôle où elle n’apporte pas un peu du génie qu’elle porte en elle et même quand elle se trompe, l’erreur est toujours intéressante.
Elle a vécu toute sa vie dans un fourmillement de fantômes qu’elle a tous réalisés en les idéalisant ; elle a marché dans son rêve étoilé… trainant tous les cœurs après soi. C’est une metteuse en œuvre incomparable de beauté.
Elle est entrée un an avant moi à la Comédie-Française et je me souviens maintenant de la première pièce que nous avons jouée ensemble. […] Elle avait vingt-trois ans à cette époque et je l’ai vue dans ses débuts… Je l’ai admirée ensuite dans ses premières incarnations et je puis vous assurer qu’elle était tout aussi belle, aussi grande artiste en ce temps-là que maintenant ; elle portait en elle toutes ses merveilleuses qualités qui, peut-être, n’étaient pas encore affermies, dégagées aussi complètement qu’aujourd’hui, mais c’était déjà une artiste incomparable, à qui tout le monde pouvait prédire la carrière extraordinairement belle qu’elle a eue. Je ne puis m’empêcher d’une grande émotion lorsque j’évoque les souvenirs lointains. On disait d’elle et de moi que nous étions un « beau couple » sur scène ; on admirait notre façon de dire les vers et puis nous avons été jeunes ensemble…
Je la revois quelquefois… mais elle vit avec moi souvent dans mes rêves. L’image de Sarah Bernhardt est restée si vivante, si grande dans mon esprit que je la crois toujours à mes côtés parce qu’elle est inoubliable… »
Le 10 février 1922 à 10 heures, il y a 100 ans aujourd’hui, s’éteignait le grand acteur Paul Mounet né à Bergerac le 5 octobre 1847. Seul son prénom, Paul, à l’image des rois, suffisait pour le nommer.
Paul Mounet dans le rôle de Macbeth (Nadar)
Il y a 100 ans, s’en est allé celui qui n’eut pour seul rival que son frère Mounet-Sully, selon le mot du redouté critique Auguste Vitu.
Dans le silence de sa mémoire, nous qui l’aimons, nous qui l’avons tant aimé, nous crions son nom… Paul Mounet !
Le Roi est mort ! Le Roi est mort, vive la roi ! Vive le bon roi Paul Mounet !
Sous la direction de Rémy Campos, Alain Carou, Aurélien Poidevin
Au début XXe siècle, le cinéma naissant entretient des rapports étroits avec le spectacle vivant. Les procédés du théâtre, de l’opéra, de la féerie, du ballet ou du café-concert sont alors employés dans les théâtres de prise de vue, ancêtres des plateaux de tournage. Les artistes et techniciens qui construisent les décors, fabriquent les costumes ou réalisent les trucages cinématographiques œuvrent aussi dans les salles de spectacle à Paris et en province. Les metteurs en scène de cinéma ont souvent été régisseurs de théâtres. Devant la caméra, les acteurs reprennent les mêmes gestes expressifs que sous les feux de la rampe. Des histoires identiques sont racontées sur les scènes ou à l’écran. À chaque instant, le cinéma des premiers temps puise dans des traditions scéniques anciennes des ressources nouvelles.
De la scène à la pellicule documente et interroge la théâtralité du cinéma en France, notamment à partir de productions du Film d’Art, réalisées entre 1908 et 1912. L’ouvrage contient une centaine d’illustrations, de nombreuses sources inédites et deux DVD. Pour trois des 20 films restaurés, l’accompagnement musical originel a été réinterprété, enregistré et synchronisé, permettant pour la première fois de retrouver les conditions de projection d’origine. La musique de L’Assassinat du duc de Guise (Camille Saint-Saëns) est jouée par l’orchestre de la Haute école de musique de Genève dirigé par Laurent Gay, celles de L’Empreinte ou La Main rouge (Fernand Le Borne) et du Retour d’Ulysse (Georges Hüe) sont interprétées au piano par Anne Le Bozec.
Avec les contributions d’Iris Berbain, Rémy Campos, Alain Carou, Quentin Gailhac, Agnès Hospitalier, Priska Morrissey, Aurélien Poidevin, Valentine Robert, Frédérick Sully, Stéphane Tralongo et des entretiens avec Béatrice de Pastre, Anne Le Bozec, Laurent Gay et Didier Henry.
2 DVD (pour une durée totale de 4 h 22 m) : L’Assassinat du duc de Guise – L’Empreinte ou La Main rouge – Le Retour d’Ulysse – La Main – Un duel sous Richelieu – L’Enfant prodigue – Mireille – La Tour de Nesle – La Grande Bretèche – Une conquête – Moines et guerriers. Épisode du siège de Saragosse (1808) – Le Luthier de Crémone – Macbeth – Carmen – Lucien Fugère dans Don Juan – Jeanne Hatto dans Iphigénie en Tauride – Émile Cossira dans Roméo et Juliette – La Rançon du bonheur – Manon Lescaut – Œdipe roi.
Il y a quelques semaines à peine, le 6 septembre dernier, disparaissait Jean-Paul Belmondo.Acteur populaire, très aimé des français, il n’a jamais cessé de clamer son amour du métier et son bonheur d’être acteur. Nous avons donc tenu à nous associer aux nombreux hommages qui lui ont été rendus en publiant des extraits d’une interview publiée en 1964 dans Le Nouvel Observateur. Cette interview réalisée par Michel Cournot était pieusement conservée dans les archives personnelles de la comédienne Jeanne Sully.
François et Frédérick Sully
LE NOUVEL OBSERVATEUR n° 5 – 1964
INTERVIEW JEAN-PAUL BELMONDO par Michel Cournot
LES MARTIENS NOUS AURONT
« On cause, la crise, on gamberge, tu sais ce qu’il faut ? Priorité – Une école ! Commencer par le commencement !
Moi j’en vois de plus en plus des types qui ont envie d’apprendre le cinéma. Ils n’ont rien nulle part. Ils essayent de jouer comme ça : ils se ramassent. Foutus pour le métier, et des types bien ! Ceux qui marchent sans avoir appris, c’est des cas…
… Jouer la comédie, ça s’apprend. C’est pas tellement difficile, mais ça s’apprend…
… Où veux-tu apprendre ici ? Tu n’as rien ! Tu as le conservatoire ? Le conservatoire, c’est usé ! C’est un truc de préhistoire, on y fabriquait des mecs pour jouer Athalie devant des bonnes femmes en robe du soir, ça suffit plus ! Maintenant tu joues la comédie en cinémascope, à la télévision, on travaille plus pour les marquises ! Le travail d’acteur a complètement changé. C’est pas au conservatoire que tu vas apprendre !
Au conservatoire, qu’est-ce qu’ils t’apprennent ? Ils t’apprennent ton texte, ils t’apprennent à le balancer aux sourdingues du troisième balcon ! C’est tout. Ils t’apprennent surtout pas à parler naturellement, ils t’apprennent à gueuler comme à la Comédie-Française. Viens causer comme ça aux studios de Billancourt, tu es viré en moins de deux !
Non, les types qui sortent du conservatoire, ils peuvent travailler au Français, tu es bon pour les tournées de province, tu n’es pas bon pour autre chose ! Ils te bouclent trois ans, ils font de toi un infirme ! Un type inutilisable ! C’est un peu moche !
Je te demande pas l’Actor’s Studio, tu m’as compris ! L’Actor’s Studio c’est pour les drogués de Chicago, les pédés de Central Park, les philosophes chômeurs, les émigrés neurasthéniques, les mecs à problèmes. L’Actor’s Studio, c’est épatant pour l’Amérique, mais pas pour nous. Pas encore.
… Former des acteurs, c’est prendre des mecs qui en veulent, et leur apprendre la boxe, la cuisine, l’escrime, la boucherie, la machine-outil, c’est leur faire avoir le permis poids lourd, leur permis pilote, c’est leur apprendre à cirer les chaussures et à découper le jambon, à faire marcher un bulldozer et à couper les pages d’un livre, à plonger à quinze mètres et à causer anglais. C’est leur apprendre tout, parce que maintenant on leur demande tout, on leur demande plus seulement d’ânonner Marivaux.
…Une école d’acteurs, on y apprend tout ! Et puis on passe à la pratique, entre les cours. Allez hop ! Sur les planches, les vraies, deux, trois fois par mois, pour savoir ce que c’est ! Sans ça, comment veux-tu apprendre ?
Au Conservatoire ils sont dingues, tu sais ce qu’ils font ? Ils jouent les uns devant les autres ! Ils ont leur public de copains, ils finissent par croire que c’est arrivé ! Ils font n’importe quelle connerie, les copains sont pliés en deux ! Qu’ils aillent faire ça au Gymnase, à l’Edouard VII, ils verront le bide ! Au Conservatoire ils jouent pendant trois ans devant un faux public qui rigole de confiance ! Et quand ils débarquent au théâtre ou dans un studio de cinéma, ils sont complètement paumés !
… Le vrai public tous les quinze jours, voilà ce qu’on se taperait dans une vraie école ! Et tous les soirs au spectacle ! Le boulevard ou le cinéma, tous les soirs !
…Au Conservatoire, on les laisse pas sortir ! …Non, ils ont droit au Français, un point c’est tout, ils ont droit aux grandes bécasses qui naviguent sur la pointe des pieds en larguant Théramène comme un air d’opéra ! C’est chouette pour apprendre le métier ! Quand le cinéma leur demandera d’interpréter un charcutier qui relève son volet de fer, ils auront bonne mine !
Moi, quand on me parle de crise, je dis : si vous voulez avoir du monde, apprenez-nous notre métier ! Faites des écoles de cinéma ! En France on apprend rien ! On a deux cents ans de retard ! On prend des jeunes qui y croient, qui ont le feu, qui ont des dons, et on en fait des bons à rien ! J’appelle ça un crime !
…On se fera bouffer par les martiens parce qu’ils auront des écoles. Nous on n’a pas d’école. C’est un crime. »
En association avec 25 partenaires parmi les archives européennes, les Archives françaises du film du CNC collaborent au projet européen EFG1914 (project.efg1914.eu/), qui vise à numériser et à rendre accessible un grand nombre de ressources cinématographiques liées à la Première Guerre mondiale.
650 heures de films datant de la Grande Guerre ou portant sur ce sujet ont ainsi été mises en ligne sur le portail EFG http://www.europeanfilmgateway.eu/et à travers la librairie numérique européenne Europeana (http://www.europeana.eu/).
Les Archives françaises du film du CNC ont ainsi proposé de présenter dans ce dispositif près de 150 titres, reflétant leurs collections et celles de leurs partenaires :
Soeurs d’armes(pour voir le film en intégralité, cliquez sur l’image ci-dessous)
Soeurs d’armes, film de Léon Poirier (1937) avec Jeanne Sully et Josette Day
Noël à Orange – Programme Septembre à Décembre 2016
Témoignage et lecture de M. Frédérick Sully et visite théâtralisée par la classe adulte du conservatoire d’Orange, dirigée par Jérôme Bru.
A travers la voix de son arrière-petit-fils Frédérick Sully, revit la gloire de cet acteur phare de la Comédie-Française de la fin du XIXe siècle, amant et partenaire de Sarah Bernhardt : Mounet-Sully. Cet homme talentueux fit résonner la scène du théâtre antique de sa voix prégnante.
Suite au succès rentré la saison dernière, Jérôme Bru vous proposera également une nouvelle visite théâtralisée avec sa classe adulte du Conservatoire d’Orange (Cf. Article : Vaucluse matin du 27/03/2016).
MARDI 29 NOVEMBRE – 20h MUSÉE D’ORANGE – Gratuit
MERCREDI 30 NOVEMBRE – 15H et 17H MEDIATHÈQUE – Gratuit
L’AVENIR DU PASSE N°12 Histoire, Patrimoine et Mémoire en Bergeracois (Premier semestre 2016)
Numéro spécial proposé par Jean-Philippe Brial et Bernard Clergeot
Nous exprimons notre très vive reconnaissance à Frédérick Sully, arrière-petit-fils de Mounet-Sully et à Nicolas Bourdet, arrière-petit-fils de Samuel Pozzi, pour leur aide précieuse et leur bienveillante complicité.
EDITO
De même vieille race
Cette année 2016 nous offre l’occasion d’honorer, au travers de la commémoration du centième anniversaire de sa mort (1er mars 2016), notre compatriote Mounet-Sully. L’Avenir du Passé tient naturellement à participer à cet hommage.
Pour autant, nous avons souhaité associer au nom de Mounet-Sully, celui de Samuel Pozzi, tant leurs parcours présentent des similitudes : nés tous les deux à Bergerac à cinq années d’intervalle, issus l’un et l’autre du très influent milieu protestant, ils ont connu ensemble à Paris la réussite professionnelle et la célébrité.
Mounet, incomparable doyen de la Comédie-Française, brilla dans les grands rôles du répertoire classique et moderne. Quant à Pozzi, esprit curieux et habile chirurgien, il est considéré aujourd’hui comme le père de la gynécologie moderne.
Unis par une profonde amitié, les deux hommes ont eu la chance de vivre les riches heures de la Belle Epoque, cette longue période de paix de quatre décennies entre deux guerres, à la fin du XIXème et au début du XXème siècle, caractérisée par l’expansion, l’insouciance et la foi dans le progrès lié aux extraordinaires techniques. Ils ont fréquenté les très riches milieux artistiques et littéraires et côtoyé les plus grands noms de leur époque : Victor Hugo, les Proust, Edmond Rostand… et la grande Sarah Bernhardt pour laquelle ils éprouvèrent plus que de l’amitié.
Restés résolument attachés à leur ville natale, ils ne cessèrent de s’investir dans leurs propriétés bergeracoises respectives, La Graulet à l’est, Garrigues à l’ouest, et participer à la vie locale.
Et pourtant, bien que la commune ait donné leur nom à une rue du centre ville pour l’un, à l’hôpital pour l’autre, les fortes personnalités de Mounet-Sully et de Samuel Pozzi semblent étrangement absentes aujourd’hui de notre mémoire collective, raison pour laquelle nous consacrons ce « focus », certes plus volumineux que d’habitude, mais nous pensons qu’il était temps de redonner à ces illustres compatriotes, la place qu’ils méritent : la première.
Jean-Philippe Brial
L’avenir du passé est édité par les Éditions du Grand Salvette pour le compte des Amis de la Dordogne et du Vieux Bergerac (ADVB)
8, rue des Récollets
24100 Bergerac
Tél : 05 53 57 24 25
SOMMAIRE
Page 4 – Commémoration nationale : pourquoi, pour qui ?
Page 6 – Par la foi !
Première partie :
Page 10 – Les destins croisés de deux Bergeracois célèbres, Mounet-Sully et Samuel Pozzi
Page 12 – De Bergerac à Paris
Page 16 – Deux natures d’élite
Page 20 – Chassé-croisé amoureux avec Sarah Bernhardt
Page 26 – Monstres sacrés
Page 36 – Un profond attachement à leur ville natale
Page 44 – Avec les honneurs
Deuxième partie :
Page 48 – Autour de Mounet-Sully
Page 50 – Mounet-Sully et la Comédie-Française
Page 52 – L’engagement
Page 56 – Les fureurs d’Oreste
Page 58 – OEdipe-roi, la consécration
Page 62 – Le Trombinoscope
Page 64 – Mounet-Sully en famille
Page 66 – Paul Mounet, le frère méconnu
Page 72 – Les deux Jeanne
Page 74 – Bergerac rend hommage aux frères Mounet
Directeur de la publication Françoise Chazeau-Paris
Rédacteur en chef Jean-Philippe Brial
Conseiller éditorial Yan Laborie
Maquette, mise en page Éditions du Grand Salvette
Régie publicitaire Marie-Thérèse Arnaud Gisèle Delbasty
Impression : Copy-Media
ISSN : 21 1 4-9933
Couverture : création Dominique Martin
Le contenu des articles n’engage que leurs auteurs