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Mounet-Sully et Paul Mounet

~ Le site des Frères Mounet

Mounet-Sully et Paul Mounet

Archives de Tag: Sarah Bernhardt

DIVINE – Vie(s) de Sarah Bernhardt en bande dessinée par Marie Avril et Eddy Simon

31 vendredi Mar 2023

Posted by mounetsully in Actualité(s)

≈ Commentaires fermés sur DIVINE – Vie(s) de Sarah Bernhardt en bande dessinée par Marie Avril et Eddy Simon

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Bande dessinée, BD, Centenaire, Comédie-Française, Commémorations nationales, Eddy Simon, Futuropolis, L'Odéon, Marie Avril, Monstre sacré, Mounet-Sully, Paris 1900, Sarah Bernhardt, Théâtre, Théâtre-Français, Victor Hugo

INDISPENSABLE – Beaux Livres

DIVINE Vie(s) de Sarah Bernhardt – Futuropolis

Marie Avril © Futuropolis 2020

DIVINE Vie(s) de Sarah Bernhardt en bande dessinée

Dessin et mise en couleur 
Marie Avril

Récit 
Eddy Simon 

Enfant terrible du théâtre français, « Monstre sacré » selon l’expression consacrée pour elle par Jean Cocteau, première vraie « star » internationale qui demeure aujourd’hui encore la comédienne la plus extraordinaire que l’histoire du théâtre ait connue, Sarah Bernhardt est l’incarnation même du mythe et de la légende. Magnifiée par le duo magique qu’elle forme à la Comédie-Française avec le jeune Mounet-Sully (de 1874 à 1880) son partenaire à la scène et à la ville, celle qui fut surnommée « la voix d’or » par Victor Hugo, sera inlassablement « acclamée et vénérée par trois générations de spectateurs charmés par son génie et par le magnétisme de sa personnalité libre et extravagante ».

Marie Avril © Divine – Vie(s) de Sarah Bernhardt (Tous droits réservés)

Loin, très loin des clichés et de la basse anecdote, Divine – Vie(s) de Sarah Bernhardt offre une (re)découverte haletante et passionnante de la vie et de la carrière de cette femme hors du commun. S’appuyant sur un travail sérieux et parfaitement documenté, Eddy Simon et Marie Avril nous livrent ici une vie de Sarah Bernhardt en images dessinées tout à la fois biographique et libre, savamment colorée, parfaitement rythmée et chronologiquement très bien articulée (les auteurs s’étant particulièrement attachés à développer cette période de neuf ans (1871-1880) où Sarah va construire sa légende, travailler pour connaître la consécration). Le résultat en est prodigieux.

De par sa qualité, tant du point de vue de l’exactitude biographique et historique que du choix graphique, Divine – Vie(s) de Sarah Bernhardt atteste qu’il est tout à fait possible de concilier culture et divertissement (« L’art d’enseigner le public en lui laissant croire qu’on l’amuse » selon le mot de Mounet-Sully). Sans parti-pris, loin de tout militantisme et de toute récupération, l’œuvre biographique gagne en autorité et la place sans conteste au niveau des plus sérieuses publications consacrées à l’inoubliable artiste. En ayant fait le choix de la vérité, cette vérité qui se suffit à elle seule, les auteurs de cette remarquable bande dessinée nous rendent enfin une Sarah Bernhardt libérée du biais du jugement, une Sarah qui, au fil des pages, se construira par elle-même selon la perception propre de chaque lecteur, une Sarah authentique, vivante, en perpétuel mouvement.

Cette œuvre coup de cœur qui aura nécessité trois longues années de travail à leurs auteurs est un véritable « Must have ». Tous publics, elle est absolument à mettre entre toutes les mains !

Illustrations couleurs ; Couverture cartonnée ; 200 x 270 mm ; 176 pages – 22€

Date de parution : 05/02/2020

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« Sarah Bernhardt est une force de la nature, un être tellement supérieur aux autres qu’elle échappe au jugement. »

26 dimanche Mar 2023

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Centenaire, Comédie-Française, Commémoration, Disparition, Mounet-Sully, Sarah Bernhardt

DISPARITION

100e anniversaire de la disparition de Sarah Bernhardt

Le 26 mars 1923, il y a 100 ans aujourd’hui, disparaissait la grande artiste.

En ce jour de commémoration, nul mieux que Mounet-Sully ne pouvait lui rendre plus sincère et plus vibrant hommage.

− = ≡ • ≡ = −

« Sarah Bernhardt est une force de la nature, un être tellement supérieur aux autres qu’elle échappe au jugement. Je l’ai suivie pas à pas dans les étapes de sa longue et belle vie dramatique et maintenant que je la vois auréolée de tant gloire, je ne puis m’empêcher d’éprouver pour elle un sentiment très fort qui n’est point de l’admiration mais de la vénération.

Cette femme porte encore dans ses yeux la flamme d’une éternelle jeunesse. Ce n’est point une artiste ordinaire, c’est une créatrice. Elle n’interprète pas, elle suggère la beauté. Je ne l’ai jamais vue dans un rôle où elle n’apporte pas un peu du génie qu’elle porte en elle et même quand elle se trompe, l’erreur est toujours intéressante.

Elle a vécu toute sa vie dans un fourmillement de fantômes qu’elle a tous réalisés en les idéalisant ; elle a marché dans son rêve étoilé… trainant tous les cœurs après soi. C’est une metteuse en œuvre incomparable de beauté.

Elle est entrée un an avant moi à la Comédie-Française et je me souviens maintenant de la première pièce que nous avons jouée ensemble. […] Elle avait vingt-trois ans à cette époque et je l’ai vue dans ses débuts… Je l’ai admirée ensuite dans ses premières incarnations et je puis vous assurer qu’elle était tout aussi belle, aussi grande artiste en ce temps-là que maintenant ; elle portait en elle toutes ses merveilleuses qualités qui, peut-être, n’étaient pas encore affermies, dégagées aussi complètement qu’aujourd’hui, mais c’était déjà une artiste incomparable, à qui tout le monde pouvait prédire la carrière extraordinairement belle qu’elle a eue. Je ne puis m’empêcher d’une grande émotion lorsque j’évoque les souvenirs lointains. On disait d’elle et de moi que nous étions un « beau couple » sur scène ; on admirait notre façon de dire les vers et puis nous avons été jeunes ensemble…

Je la revois quelquefois… mais elle vit avec moi souvent dans mes rêves. L’image de Sarah Bernhardt est restée si vivante, si grande dans mon esprit que je la crois toujours à mes côtés parce qu’elle est inoubliable… »

Mounet-Sully

Interview Comoedia Vendredi 16 janvier 1914

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Théâtre : la grandeur est un droit ! par Yannis Ezziadi

28 vendredi Juil 2017

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≈ Commentaires fermés sur Théâtre : la grandeur est un droit ! par Yannis Ezziadi

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Acteur, Actualité, Anne Delbée, Causeur, Comédie-Française, Culture, Gérard Depardieu, Jean Cocteau, Le Figaro, Michel Galabru, Monstre sacré, Mounet-Sully, Philippe Caubère, Sarah Bernhardt, Théâtre, Yannis Ezziadi

CAUSEUR n° 47 (Juin 2017) – Le 13/06/2017

CULTURE

THEATRE : LA GRANDEUR EST UN DROIT !

Yannis Ezziadi © Hannah Assouline (Causeur)

Lettre d’un jeune acteur qui ne supporte plus les metteurs en scène en guerre contre les œuvres, la beauté et le goût du public.

Où aller pour rêver ? Pour voir l’impossible ? Dans quel théâtre se rendre pour échapper à notre platitude quotidienne ?

Sur les scènes des théâtres publics ou à l’opéra, de folles et grandes œuvres sont pourtant montées comme Phèdre, Roméo et Juliette, Le Misanthrope, Lohengrin, Iphigénie en Tauride et Samson et Dalila ! Montées ?… ou plutôt démontées. En effet, une majorité de metteurs en scène s’attache à anéantir, à piétiner la dimension onirique et poétique de ces chefs-d’œuvre.

Au théâtre et à l’opéra, lieux à part et hors du temps, lieux de tous les possibles, lieux des rêves les plus fous, de la possible démesure, le rideau s’ouvre trop souvent sur la tristesse d’un décor sage, réaliste et dépouillé (lorsque décor il y a), et sur des acteurs en costume/cravate ou jean/baskets. Le rideau de velours rouge s’ouvre (si le théâtre en dispose encore) pour n’offrir à nos yeux que notre quotidien le plus banal sur la scène de ces temples sacrés, pour les plus anciens, faits de rouge et d’or.

La mode est malheureusement au réalisme bas de gamme, au refus de la beauté, de la sophistication et de l’artifice. L’acteur aussi, contraint par le metteur en scène, joue de manière sobre et raisonnable. Ce n’est même plus la vie quotidienne que l’on voit sur la scène, mais encore moins que cela. Ce n’est même pas du réalisme, mais du sous-réalisme. Et le théâtre subventionné n’a plus le monopole de cette grisaille, qui contamine malheureusement de plus en plus de théâtres privés programmant, comme honteux de présenter des divertissements populaires, des spectacles « sérieux » en espérant ainsi redorer leur image. Voilà la mort du spectacle ! Le théâtre sérieux, le théâtre raisonnable. C’est ainsi que, gouverné par la dictature du bon goût, notre monde passe à côté de ses artistes les plus immenses. Je pense notamment à Michel Galabru, cet acteur de génie qui, malgré l’amour des Français pour lui, aura toute sa carrière durant été méprisé et rangé dans la case des « ringards » par le microcosme des « gens de théâtre et de cinéma » branchés, faiseurs, fins politiques. Quand il jouait, tout était profondément tragique, voilà pourquoi il était un grand acteur comique, peut-être le plus grand. Dans un siècle, les grands acteurs comiques et populaires sont rares. En ignorer et en mépriser ouvertement un tel que lui est un crime contre l’art. Quel théâtre national, quel metteur en scène vedette du subventionné lui aura donné de grands rôles après sa sortie de la Comédie-Française à l’âge de 35 ans ? Depuis Jean Vilar au festival d’Avignon en 1961 avec Les Rustres de Goldoni, il n’y aura eu que Jérôme Savary. Et voilà de quelle manière le public se retrouve privé de ses acteurs les plus magnifiques dans de grands rôles à leur mesure.

Retrouvons en nous l’enfant qui refuse de s’ennuyer, qui veut s’émerveiller, qui veut rêver ! « Perdre l’enfance, c’est perdre tout », disait Jean Cocteau. N’est-il pas essentiel pour nous d’échapper à l’ordinaire de nos jours ? De voir plus haut ? Plus beau ? Plus monstrueux ? Le temps d’un songe ! Pensons à Giorgio Strehler et Jean-Louis Barrault, à Luchino Visconti et, au cinéma, à David Lynch, à Tim Burton et à Francis Ford Coppola ! Pensons à Fellini !

Il est indispensable que revienne le grand art, le grand théâtre, le théâtre des acteurs.

Rien n’est plus beau qu’un grand acteur, qu’un acteur fou et démesuré en liberté sur un plateau. Délivré de la cage dans laquelle trop de metteurs en scène veulent le mettre. Relisons Mes monstres sacrés de Jean Cocteau, lorsqu’il raconte que le tragédien Mounet-Sully, sur la scène de la Comédie-Française, rugissait, bondissait, se ramassait, miaulait, grondait, s’étirait, giflait le vide, le broyait et qu’il « offrait ensemble le spectacle d’un dompteur qui cravache un lion, et du lion forcé d’obéir ». Les acteurs ont été, ne l’oublions pas, des personnages hors du commun, des personnages qui fascinaient les foules. Pouvons-nous en dire autant aujourd’hui ? À quelques exceptions près… Il y a Gérard Depardieu. Ce monstre sacré bouleverse et fascine le peuple. Cet ogre sublime, libre, nous donne l’impression d’appartenir à la race des dieux. Tout ce que les petits artistes jaloux et lyncheurs lui reprochent, le peuple le lui pardonne, car il remplit sa mission d’artiste auprès d’eux : il les fait rêver !

Retrouvons en nous l’enfant qui refuse de s’ennuyer, qui veut s’émerveiller ! N’est-il pas essentiel pour nous d’échapper à l’ordinaire de nos jours ? De voir plus haut ? Plus beau ? Plus monstrueux ?

Il y a de bons acteurs, évidemment, très bons même, mais qui prendraient une tout autre dimension si l’art de l’acteur revenait au centre du théâtre. L’art de l’acteur… trop souvent méprisé par les metteurs en scène.

Refusons la dictature du goût du jour et l’uniformisation de l’esthétique d’un trop grand nombre de nos théâtres subventionnés. Refusons à l’opéra la destruction de la dimension fantastique, onirique et poétique d’une foule d’œuvres surdimensionnées pour les réduire à de pauvres anecdotes sous-réalistes. Exigeons le retour du grand art, de l’art fou, du théâtre des passions dans ces théâtres publics, ces théâtres du peuple que sont, par exemple, l’Odéon, Bobigny ou les Amandiers de Nanterre !

Une multitude de metteurs en scène soutenus par leurs directeurs de théâtre déclarent la guerre aux œuvres qu’ils montent, à la beauté, au goût du public.

Réclamons la grandeur ! Elle n’est pas une insulte à notre adresse.

Je tiens à saluer l’action de trois grands artistes qui se battent pour le retour du grand théâtre : Anne Delbée, Philippe Caubère et Michel Fau. Merci pour leur combat, pour leurs refus, pour leur passion. •

Yannis Ezziadi


 

La grandeur est un droit ! © Causeur 2017

 

 

 

 

 

 

 
 
A lire également :
 
Obsèques de Michel Galabru : la sainte colère de Philippe Caubère
 
Le Figaro du 14 janvier 2016 par Armelle Heliot
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 […] « Je nous suggère, et à vous aussi qui l’avez connu, écouté, adoré, de travailler, œuvrer, lutter pour que perdure, renaisse, revienne le théâtre des comédiens. Celui de l’antiquité, du Moyen-Âge, du 19 ème et du XX ème Siècle, de Sarah Bernhard et Mounet-Sully jusqu’à Copeau, Dullin, Jouvet, Vilar. Et de Raimu à Galabru. » […]

Philippe Caubère
 
 

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Orange : Souvenirs sur Mounet-Sully

03 samedi Déc 2016

Posted by mounetsully in Revue de Presse

≈ Commentaires fermés sur Orange : Souvenirs sur Mounet-Sully

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Actualité, Comédie-Française, Conservatoire d'Art Dramatique, Frédérick Sully, Jean Cocteau, Lectures, Médiathèque, Mounet-Sully, Sarah Bernhardt, Victor Hugo, Ville d'Orange

VAUCLUSE MATIN (DAUPHINE LIBERE) – Le 03/12/2016

Orange

MÉDIATHÈQUE – LA LECTURE DE QUELQUES CORRESPONDANCES

SOUVENIRS SUR MOUNET-SULLY

orange-mounet-sully-mediatheque-novembre-2016

Frédérick Sully raconte l’histoire de son arrière-grand-père, le comédien Mounet-Sully.

Des lectures à la médiathèque autour de Frédérick Sully 

Ce mercredi, la médiathèque d’Orange a accueilli Frédérick Sully, arrière-petit-fils du sociétaire de la comédie française au XIXe siècle Mounet-Sully, ainsi que la classe adulte d’arts dramatiques du conservatoire (Cf. Article : Vaucluse Matin du 27/03/2016).

C’est en effet dans une petite salle de la médiathèque que les curieux se sont réunis pour écouter Frédérick Sully parler avec passion de l’histoire de Mounet-Sully.

La lecture de quelques correspondances est venue rythmer l’après-midi. De sa relation avec Sarah Bernhardt au portrait de Mounet-Sully vu par Victor Hugo ou encore par Jean Cocteau, les comédiens ont lu aux visiteurs quelques lettres entrecoupées par les explications de Frédérick Sully. Il a d’ailleurs tenu à remercier la ville d’Orange. « On m’a invité à venir ici, c’est une première » se réjouit-il. « Je suis venu présenter l’aboutissement de vingt ans de travail laborieux pour faire connaître Mounet-Sully » a-t-il expliqué.

vaucluse-matin-le-dauphine-libere-03-decembre-2016

 

 

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Témoignage et lecture de M. Frédérick Sully dans le cadre des Mardis du Musée à Orange

28 lundi Nov 2016

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Actualité, Comédie-Française, Conservatoire d'Art Dramatique, Frédérick Sully, Jérôme Bru, Lectures, Les Mardis du Musée, Mounet-Sully, Sarah Bernhardt, Théâtre Antique, Ville d'Orange

COMMÉMORATIONS NATIONALES

VILLE D’ORANGE (Noël à Orange – Programme 2016)

LES MARDIS DU MUSÉE

orange-flyer-novembre-2016-2

Noël à Orange – Programme Septembre à Décembre 2016

Témoignage et lecture de M. Frédérick Sully et visite théâtralisée par la classe adulte du conservatoire d’Orange, dirigée par Jérôme Bru.

A travers la voix de son arrière-petit-fils Frédérick Sully, revit la gloire de cet acteur phare de la Comédie-Française de la fin du XIXe siècle, amant et partenaire de Sarah Bernhardt : Mounet-Sully. Cet homme talentueux fit résonner la scène du théâtre antique de sa voix prégnante.

Suite au succès rentré la saison dernière, Jérôme Bru vous proposera également une nouvelle visite théâtralisée avec sa classe adulte du Conservatoire d’Orange (Cf. Article : Vaucluse matin du 27/03/2016).

MARDI 29 NOVEMBRE – 20h MUSÉE D’ORANGE – Gratuit

MERCREDI 30 NOVEMBRE – 15H et 17H MEDIATHÈQUE – Gratuit

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Les destins croisés de deux Bergeracois célèbres Mounet-Sully et Samuel Pozzi

01 mardi Nov 2016

Posted by mounetsully in Actualité(s), Revue de Presse

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Éditions du Grand Salvette, Bergerac, Bernard Clergeot, Centenaire de Mounet-Sully, Comédie-Française, Edmond Rostand, Frédérick Sully, Gynécologie, Hommage, Jean-Philippe Brial, L'Avenir du passé, Les Amis de la Dordogne et du Vieux Bergerac, Mounet-Sully, Nicolas Bourdet, Proust, Samuel Pozzi, Sarah Bernhardt, Victor Hugo

PUBLICATION

L’AVENIR DU PASSE N°12 Histoire, Patrimoine et Mémoire en Bergeracois (Premier semestre 2016)

Numéro spécial proposé par Jean-Philippe Brial et Bernard Clergeot

 

lavenir-du-passe-n-12-premier-semestre-2016

 

Nous exprimons notre très vive reconnaissance à Frédérick Sully, arrière-petit-fils de Mounet-Sully et à Nicolas Bourdet, arrière-petit-fils de Samuel Pozzi, pour leur aide précieuse et leur bienveillante complicité.

 

EDITO

De même vieille race

Cette année 2016 nous offre l’occasion d’honorer, au travers de la commémoration du centième anniversaire de sa mort (1er mars 2016), notre compatriote Mounet-Sully. L’Avenir du Passé tient naturellement à participer à cet hommage.

Pour autant, nous avons souhaité associer au nom de Mounet-Sully, celui de Samuel Pozzi, tant leurs parcours présentent des similitudes : nés tous les deux à Bergerac à cinq années d’intervalle, issus l’un et l’autre du très influent milieu protestant, ils ont connu ensemble à Paris la réussite professionnelle et la célébrité.

Mounet, incomparable doyen de la Comédie-Française, brilla dans les grands rôles du répertoire classique et moderne. Quant à Pozzi, esprit curieux et habile chirurgien, il est considéré aujourd’hui comme le père de la gynécologie moderne.

Unis par une profonde amitié, les deux hommes ont eu la chance de vivre les riches heures de la Belle Epoque, cette longue période de paix de quatre décennies entre deux guerres, à la fin du XIXème et au début du XXème siècle, caractérisée par l’expansion, l’insouciance et la foi dans le progrès lié aux extraordinaires techniques. Ils ont fréquenté les très riches milieux artistiques et littéraires et côtoyé les plus grands noms de leur époque : Victor Hugo, les Proust, Edmond Rostand… et la grande Sarah Bernhardt pour laquelle ils éprouvèrent plus que de l’amitié.

Restés résolument attachés à leur ville natale, ils ne cessèrent de s’investir dans leurs propriétés bergeracoises respectives, La Graulet à l’est, Garrigues à l’ouest, et participer à la vie locale.

Et pourtant, bien que la commune ait donné leur nom à une rue du centre ville pour l’un, à l’hôpital pour l’autre, les fortes personnalités de Mounet-Sully et de Samuel Pozzi semblent étrangement absentes aujourd’hui de notre mémoire collective, raison pour laquelle nous consacrons ce « focus », certes plus volumineux que d’habitude, mais nous pensons qu’il était temps de redonner à ces illustres compatriotes, la place qu’ils méritent : la première.

Jean-Philippe Brial

 

L’avenir du passé est édité par les Éditions du Grand Salvette pour le compte des Amis de la Dordogne et du Vieux Bergerac (ADVB)
8, rue des Récollets
24100 Bergerac
Tél : 05 53 57 24 25

SOMMAIRE

Page 4 – Commémoration nationale : pourquoi, pour qui ?
Page 6 – Par la foi !

Première partie :

Page 10  – Les destins croisés de deux Bergeracois célèbres, Mounet-Sully et Samuel Pozzi
Page 12 – De Bergerac à Paris
Page 16 – Deux natures d’élite
Page 20 – Chassé-croisé amoureux avec Sarah Bernhardt
Page 26 – Monstres sacrés
Page 36 – Un profond attachement à leur ville natale
Page 44 – Avec les honneurs

Deuxième partie :

Page 48 – Autour de Mounet-Sully
Page 50 – Mounet-Sully et la Comédie-Française
Page 52 – L’engagement
Page 56 – Les fureurs d’Oreste
Page 58 – OEdipe-roi, la consécration
Page 62 – Le Trombinoscope
Page 64 – Mounet-Sully en famille
Page 66 – Paul Mounet, le frère méconnu
Page 72 – Les deux Jeanne
Page 74 – Bergerac rend hommage aux frères Mounet

Directeur de la publication
Françoise Chazeau-Paris
Rédacteur en chef
Jean-Philippe Brial
Conseiller éditorial
Yan Laborie
Maquette, mise en page
Éditions du Grand Salvette
Régie publicitaire
Marie-Thérèse Arnaud
Gisèle Delbasty
Impression : Copy-Media
ISSN : 21 1 4-9933

Couverture : création Dominique Martin

Le contenu des articles n’engage que leurs auteurs

 

 

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« Mon devoir de mémoire » L’exposition consacrée au grand comédien oublié Mounet-Sully doit beaucoup à son arrière-petit-fils

18 dimanche Sep 2016

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Actualité, Bergerac, Ciméma, Comédie-Française, Exposition, Frédérick Sully, Jeanne Sully, Mémoire, Mounet-Sully, Sarah Bernhardt, Shakespeare, Sudouest, Victor Hugo

SUDOUEST

Dordogne Dimanche 18 septembre 2016

Périgueux / Bergerac / Sarlat

« MON DEVOIR DE MEMOIRE »

Bergerac

L’exposition consacrée au grand comédien oublié Mounet-Sully doit beaucoup à son arrière-petit-fils

Daniel Bozec

d.bozec@sudouest.com

Il a fallu insister pour tirer son portrait au milieu de la salle d’exposition, lui qui se sent « bien dans l’ombre ». Sa modestie en souffrira, mais Frederick Sully, 50 ans et arrière-petit-fils du glorieux comédien Mounet-Sully, n’est pas le simple « passeur » qu’il prétend être. Acharné depuis une vingtaine d’années à reconstituer l’épopée de son bisaïeul, il a alimenté et nourri l’exposition inédite du presbytère Saint-Jacques (1), cent ans après la mort du tragédien né à Bergerac et dont le commun des mortels ne sait à vrai dire pas grand-chose.

C’est là que réside le grand mérite de cette exposition, montée en trois mois et demi avec Sylvie Carpentier, du service culture de la Ville de Bergerac : elle donne à connaître Mounet-Sully avec un art consommé de la synthèse, de son adolescence bergeracoise, à travers les « Souvenirs d’un tragédien » qui gagneraient à être réédités, à ses plus grands rôles dans « Hernani », « Ruy Blas », « Andromaque », ou encore « Œdipe-roi ».

Immense vedette

« Découvrir Mounet-Sully pour ceux qui ne le connaissent pas et redécouvrir Mounet-Sully pour ceux qui le connaissent »

Figure de commandeur et regard follement acéré, Mounet-Sully est de toutes les tragédies de l’époque en bon sociétaire de la Comédie-Française et comédien fétiche de Victor Hugo. Des tournées qui le conduisent en province comme aux Etats-Unis, où il a joué « Hamlet » de Shakespeare. A la croisée du théâtre et du cinéma frémissant, son nom apparaît en tête de liste sur une affiche de 1901 des premiers « films d’art Pathé ». L’exposition n’en restitue pas moins les aspérités de l’artiste, entres ses tourments mystiques affleurant au détour d’une consultation chez le chiromancien et des extraits de sa correspondance amoureuse avec sarah Bernhardt, que l’on ne présente plus. Photos, notamment au Château de Garrigues sur la route de Mussidan, textes, effets personnels : quel que soit son degré de curiosité, le visiteur trouvera à picorer parmi la centaine de pièces présentées.

« Cette exposition est vraiment comme je l’avais espérée », dit Frédérick Sully, qui s’en tient à une formule : « Découvrir Mounet-Sully pour ceux qui ne le connaissent pas et redécouvrir Mounet-Sully pour ceux qui le connaissent ». Ce n’est pas faire injure à l’arrière-petit-fils que de constater combien ces derniers sont fort peu nombreux. Comment Mounet-Sully est-il tombé dans l’oubli en quatre générations ? Frédérick Sully a sa petite idée : « Il meurt en 1916 au lendemain de la bataille de la Marne. On lui promettait des obsèques nationales mais elles n’ont pas eu lieu. La guerre dure et, en 1918, on compte les morts ». S’y ajouterait « l’éducation rigoureuse de l’intéressé, fils d’un propriétaire de métairies. «  Il y a sans doute moins d’exubérance qu’une Sarah Bernhardt qui a créé son mythe. Cela dit, même Sarah Bernhardt commence à passer à la trappe. Ses liaisons font jaser, mais on oublie la grande actrice qu’elle fut… ».

Tiraillements

Si Mounet-Sully fut un « grand mystique », son arrière-petit-fils est à coup sûr un grand sentimental. L’histoire familiale a sauté à la figure de cet ancien d’un institut de sondage il y a plus de vingt ans. C’était au chevet de sa grand-mère atteinte de la maladie d’Alzheimer. Décédée en 1995, Jeanne Sully, elle-même sociétaire de la Comédie-Française, avait défriché le chemin la première, donnant des conférences sur la « vocation de l’acteur » à partir des écrits laissés par Mounet-Sully. Malade, elle a livré ses souvenirs d’enfance à ce petit-fils aimant qu’elle prenait pour « un journaliste » jusqu’à rendre son dernier souffle, à 90 ans. « C’est un devoir voulu de mémoire », poursuit Frédérick Sully, un brin tiraillé entre « l’aboutissement » que représente cette belle exposition bergeracoise et son incessante quête familiale. Ainsi songe-t-il à retravailler des extraits sonores de son bisaïeul, entre autres projets, pour être au plus près de la voix d’origine : « C’est le début. C’est une histoire sans fin », souffle-t-il , les yeux embués.

(1) L’exposition, ouverte de 14 heures à 19 heures, s’achève ce dimanche. Entrée gratuite.

sudouest-mon-devoir-de-memoire-dr

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Journées du patrimoine en Dordogne : Un hommage au grand Mounet-Sully

16 vendredi Sep 2016

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Bergerac, Comédie-Française, Conférences, Dordogne, Exposition, Frédérick Sully, Hommage, Journées du Patrimoine, Mounet-Sully, Samuel Pozzi, Sarah Bernhardt, Sudouest

SUDOUEST

Vendredi 16 septembre 2016

Les Journées du patrimoine en Dordogne

Six bonnes idées de balade

DORDOGNE

Visites inédites, grandes expositions et personnages à mieux connaître. Parmi toutes les propositions de ces Journées du patrimoine, voici des sorties originales ou marquantes

Ce sont quelques-uns des temps forts de ce week-end. A choisir selon ses goûts, parmi près de 600 animations prévues en Dordogne.

1 Les châteaux de Saint-Léon-sur-Vézère et Losse à visiter

C’est une première. On pourra visiter, samedi, le château de la Salle à Saint-Léon-Sur-Vézère, qui est habituellement fermé au public. […].

2 Des guides pour l’exposition de Biron

L’exposition évènement Messagers, chef-d’œuvre de la fondation Maeght » est toujours présentée au château de Biron. […].

3 Un hommage au grand Mounet-Sully

Montée en trois mois, une exposition rend au comédien bergeracois Mounet-Sully tout son éclat, cent après sa disparition. L’itinéraire du grand tragédien de la fin du XIXe siècle, sociétaire de la Comédie-Française et de toutes les grandes productions théâtrales, est restitué grâce à la collection particulière de son arrière-petit-fils Frédérick. On découvre non seulement son grand portrait fiévreux, mais aussi des correspondances avec Samuel Pozzi et Sarah Bernhardt, des articles de presse et même le petit oratoire que cet artiste volontiers mystique conservait dans sa loge à la Comédie-Française. A la croisée du théâtre et du cinéma frémissant : Mounet-Sully apparait aussi en tête de liste d’une affiche de 1901 proclamant : « Tous les grands artistes jouent dans les films Pathé ».

Exposition au presbytère Saint-Jacques, place du Livre-de-Vie à Bergerac, jusqu’à dimanche, de 14 à 19 heures. Conférences samedi après-midi à partir de 15 heures. Entrée libre. Visite guidées du château de Garrigues, l’ancienne demeure de Mounet-Sully, dimanche à 14 et 16 h, sur réservation.

4 Au château de Montaigne, Montaigne ressuscité

Imagine-t-on Montaigne, ce grand voyageur, découvrir notre monde ? Ancien professeur de lettres, le Limougeaud Claude Carreaux a osé, catapultant le philosophe dans son fief de Saint-Michel-de-Montaigne en… 2016. […]

5 Des « Scènes d’intérieur » à découvrir à Nontron

Une nouvelle exposition débutera samedi au Pôle expérimental des métiers d’art de Nontron. Intitulée « Cinq scènes d’intérieur », elle regroupe des réalisations de 20 artistes adhérents à l’association, dans les domaines du mobilier, de la décoration, du textile, de la céramique, maroquinerie, vannerie, lithographie, etc. […]

5 La préhistoire sur le terrain au Moustier

De nouvelles fouilles ont été entreprises au gisement du Moustier. L’équipe accueillera le public dimanche à 10 heures sur le thème « Un siècle après Peyroni reprise des fouilles ». […]

les-journees-du-patrimoine-en-dordogne-a-sudouest-16-septembre-2016les-journees-du-patrimoine-en-dordogne-b-sudouest-16-septembre-2016

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Mounet-Sully, le retour (Exposition)

15 jeudi Sep 2016

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Étiquettes

Actualité, Bergerac, Comédie-Française, Daniel Garrigue, Depardieu, Exposition, Frédérick Sully, Journées du Patrimoine, L'Avenir du passé, Mounet-Sully, Sarah Bernhardt, Sudouest, Victor Hugo

SUDOUEST

Dordogne Jeudi 15 septembre 2016

Bergerac et bergeracois

MOUNET-SULLY, LE RETOUR

EXPOSITION

Un hommage bergeracois est enfin rendu à l’un des plus grands comédiens de son temps

Elle ne dure que sept jours, à l’étage du presbytère Saint-Jacques, mais l’exposition consacrée à Mounet-Sully (1) n’en fait pas moins l’évènement à l’occasion des journées du patrimoine et au détour du centième anniversaire de la mort du comédien bergeracois.

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Une centaine de pièces sont à découvrir – Photo DB

Une exposition qui doit son existence à la collection de Frédérick Sully, l’arrière-petit-fils de Mounet-Sully. Investi corps et âme dans la transmission du souvenir de son aïeul, il avait convaincu le maire Daniel Garrigue du bien-fondé d’une exposition, début mai.

Son passé bergeracois

En trois mois et demi, une centaine de pièces a été réunie, en provenance de la collection familiale et du fonds des musées de Bergerac. Elles permettent de saisir combien Mounet-Sully fut le Depardieu de l’époque, acteur fétiche de Victor Hugo et sociétaire de la Comédie-Française. Gage de notoriété, sur l’affiche de Ruy Blas, son nom apparaît en aussi gros caractères que celui du valet opiniâtre de Victor Hugo joué au théâtre municipal de Verdun.

Mieux, jalonnée d’extraits de « Souvenirs d’un tragédien », ses mémoires, l’exposition révèle la part bergeracoise de Mounet-Sully. Elève « paresseux » d’Henri IV qui laissait « s’envoler son imagination loin de la classe et des leçons », l’adolescent eut « la révélation du vers tragique » un soir de représentation au théâtre de Bergerac. Il resta tout de même vaquer en ville jusqu’à ses 26 ans avant de prendre son envol théâtral. Cerise sur un gâteau truffé de correspondances avec Sarah Bernhardt, d’affiches et d’effets personnels, l’exposition diffuse en boucle un enregistrement sonore de l’acteur sur scène, voix de seigneur, emphatique à souhait, qui signe à elle seule l’épopée théâtrale de la fin du XIXe siècle.

Daniel Bozec

d.bozec@sudouest.com

(1) Exposition jusqu’à dimanche 18 septembre, de 14 heures à 19 heures. Les visites guidées au château de Garrigues, l’ex-propriété de Mounet-Sully, sont déjà complètes dimanche après-midi.

INTERVENTIONS

Samedi, à 15 heures, présentation du dernier numéro de « L’Avenir du passé » consacré à Mounet-Sully et à Samuel Pozzi ; à 15h15, conférence de Bernard Clergeot sur Mounet-Sully « Monstre sacré » ; à 16h45, « discussion ouverte » avec l’arrière-petit-fils Frédérick Sully ; à 17h30, conférence sur le château Mounet-Sully par Caroline Mazel.

mounet-sully-le-retour-sudouest-15-sept-2016

Mounet-Sully, le retour © Sudouest 2016

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Mounet-Sully (Exposition)

25 vendredi Mar 2016

Posted by mounetsully in Revue de Presse

≈ Commentaires fermés sur Mounet-Sully (Exposition)

Étiquettes

Actualité, Centenaire de Mounet-Sully, Comédie-Française, Exposition, Frédérick Sully, La Gazette Drouot, Maison de Victor Hugo, Mounet-Sully, Sarah Bernhardt

LA GAZETTE DROUOT

N° 12 – 25 Mars 2016

EXPOSITIONS

MOUNET-SULLY

Jean Mounet-Sully (1841-1916) est indissociable du théâtre de Victor Hugo. Un hommage lui est rendu au musée éponyme pour célébrer le centenaire de sa mort. Il a su donner un nouveau souffle à la Comédie-Française. Sa beauté, son jeu théâtral inédit lui font incarner les grands rôles du répertoire hugolien qu’il a marqué d’une empreinte quasi mythique. L’acteur est évoqué par des portraits, peintures, gravures et documents issus des collections du musée et des archives familiales. Ses débuts à la Comédie-Française, avec le rôle de Didier dans Marion de Lorme en 1873, marquent sa rencontre avec Victor Hugo. Sceptique devant le choix d’un débutant, l’écrivain est immédiatement conquis après avoir vu le novice dans Oreste. Il jouera la pièce jusqu’en 1915. Puis c’est Hernani qu’il interprètera près de 400 fois de 1877 à 1911. Public et critique sont conquis. Il triomphe encore avec Ruy Blas qu’il incarnera près de 260 fois à partir de 1879. En 1882, il est François 1er dans Le roi s’amuse, qu’il troquera en 1911 pour celui de M. de Saint-Vallier. Le 22 mai 1886, il lit des passages inédits de La Fin de Satan de Victor Hugo. En 1902, il interprète Job dans Les Burgraves. Cette même année, il rencontre la comédienne Jeanne Rémy (1881-1961) qui devient sa compagne. Leur fille Jeanne Sully entrera à la Comédie-Française en 1937. Mounet-Sully est présent pour l’inauguration de la statue de Victor Hugo à Guernesey. Le 7 juillet 1914. Il sera le partenaire de Sarah Bernhardt.

LH (Lydia Harambourg)

Maison de Victor Hugo, 6 place des Vosges, Paris IVe, tél. : 01 42 72 06 64, http://www.maisonsvictorhugo.paris.fr –

Jusqu’au 4 avril. Avec le concours de Frédérick Sully.

Mounet-Sully © La Gazette Drouot 2016

Mounet-Sully © La Gazette Drouot 2016

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