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SPECTACLE – LUNDI 16 MARS 2015 à 18H00
LIBRAIRIE THEATRALE – 3 RUE DE MARIVAUX – 75002 PARIS
Après le succès des représentations données au Musée de la Vie Romantique et au Théâtre du Nord-Ouest, venez assister aux Répétitions Mouvementées de Victor Hugo avec quelques-uns des interprètes de son théâtre : Mounet-Sully, Sarah Bernhardt, Julia Bartet, Albert Lambert…
C’est drôle, animé, pour tout dire, mouvementé !

Comédie de Danièle Gasiglia en lecture-spectacle. Dans le cadre du Festival Victor Hugo et Egaux 2015 (plus d’info).
Durée : 1 h 30.
Avec Pierre-François Lamiraud (Mounet-Sully), Fabienne Vette (Sarah Bernhardt, Une jeune actrice), Pierre-François Kettler (Emile Perrin, Paul Meurice, Febvre, Albert Lambert), Arnaud Laster (Victor Hugo), Danièle Gasiglia (Mariette, Marie Favart, Julia Bartet, Lise).
Le 16 mars à 18h : Librairie théâtrale, 3 rue de Marivaux, Paris 2e. Entrée libre. Réservation fortement conseillée (01.42.96.89.42)
Texte intégral en vente sur place ou en commande via le site de la Librairie Théâtrale :
REPETITIONS MOUVEMENTEES ou Victor Hugo et ses interprètes Comédie de Danièle Gasiglia
88 pages – 6 €
Librairie Théâtrale, Paris (2014)
Dossier de presse (extraits) :
« Ces fragments de répétitions nous révèlent des personnages délivrés de leur légende, plus humains, mieux à même de nous faire sentir la beauté des rôles et la puissance des répliques. Danièle Gasiglia ressuscite avec finesse et humour la préparation mouvementée de ces grands moments de théâtre. » Aline Marchadier, L’Avant-scène théâtre.
« Dans Répétitions mouvementées Danièle Gasiglia mêle épisodes véridiques et dialogues fictifs en un subtil et homogène contrepoint dans lequel les thèmes s’appellent et se répondent. Elle évoque ici un grand moment de l’histoire du théâtre, sans jamais tomber dans le piège d’une froide reconstitution archéologique». Anne Penesco, biographe de Mounet-Sully.
« La verve, l’émotion mais aussi l’humour sont de la partie, pour s’emparer du spectateur sans un instant de relâchement… ». Pierre René Serna, Scènes Magazine, Genève.
« Je puis vous dire en toute simplicité combien j’ai été ému et enthousiasmé». Louis-Guy Gaillard, professeur de Lettres.




















L’Horace est un livre exceptionnel à bien des égards. Son éditeur, Pierre Didot, dit Didot l’ainé, est un membre de la troisième génération de cette famille d’imprimeurs français. Il obtient du gouvernement d’installer ses presses au Louvre, « in aedibus palatinis », où il lance cette collection magnifique, financée par souscriptions, qu’on appellera les « Didot du Louvre ». Il présente le Virgile en 1798 à l’exposition des produits de l’industrie et obtient une des douze médailles d’or. Il publie l’Horace en 1799, les œuvres de Racine de 1801 à 1805, puis celles de La Fontaine et enfin de Boileau. D’une typographie exceptionnelle, grâce aux caractères créés par son jeune frère Firmin Didot – la police Didot même, encore utilisée de nos jours – , ces ouvrages sont ornés par des illustrateurs contemporains renommés : l’Horace comprend ainsi douze bandeaux gravés par Charles Percier. Ils sont reliés luxueusement, dans la plus parfaite mode empire : un maroquin rouge, bordé d’une bande de palmettes et d’ornementations typiquement néoclassique.







